Cas unique en Europe et pratiquement dans le monde, la France ne propose pas de cours sur les religions mais les enseigne à ses élèves de façon transdisciplinaire.
La plupart des jeunes s’informent (54% en 3e, 68% en Terminale), surtout par le biais de la télévision (à 80%). Viennent ensuite l’entourage, les réseaux sociaux, les vidéos en ligne. Qu’on ne s’y trompe pas « les élèves sont perspicaces », souligne l’enquête : ils ne font que très peu confiance aux réseaux sociaux et s’en remettent plutôt aux médias traditionnels.
L’enquête pointe que les élèves issus de milieux défavorisés s’informent moins que les autres (46% contre 67% en 3e, 59% contre 78% en Terminale). Ils font aussi davantage confiance aux réseaux sociaux que les autres élèves. De manière générale
« les enfants dont les parents ne s’intéressent pas à l’actualité sont moins nombreux à s’informer eux-mêmes ».
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